La discrimination
raciale continue à être un grand problème dans la plupart des pays du monde, et la France
n’y est pas exclue. En France, les minorités raciales vivent communément du
profilage racial lors des contrôles de police. Les minorités, notamment les
personnes noires et/ou musulmanes, sont les plus assujetties à ces contrôles,
bien qu’ils soient censés être faits par hasard ou sous soupçon, et les personnes appartenant à des collectifs minoritaires qui y sont assujetties ont tendance à être maltraitées.
L’homme noir dont
j’ai parlé l’autre semaine qui a été violé par la police, quatre officiers de
police, spécifiquement, peut avoir au moins un peu de paix en sachant que trois
des officiers sont inculpés d’agression, et le dernier, de viol. Ce qui aurait
dû être un simple contrôle de police est devenu une agression violente de
laquelle ce jeune homme ne pourra possiblement pas se remettre. Un autre jeune
homme, qui s’appelle Alexandre, a été aussi assujetti à une agression violente
de la part de la police en 2015. Le tribunal correctionnel a demandé que l’agression
soit traitée de viol, mais il n’a pas réussi, et l’officier de police sera
inculpé d’agression aggravée. Et ce ne sont pas les deux seuls cas. L’agression
contre les minorités de la part de la police s’est produite pendant des
décennies. Et beaucoup d’autres pays, notamment les États-Unis, ont le même
problème.
Il y a aussi le
problème de discrimination dans l’accès au logement qui affecte les minorités. Lorsqu’une personne fait une demande de voir un logement, les
personnes avec des noms qui sonnent français ont plus de chance de voir le
logement, suivi par les personnes qui un des noms sonnant « blanc »,
tels que les noms anglais ou néerlandais, et puis finalement les personnes qui
ont des noms « étrangers ». Il y a en fait un problème notable auquel
font face les Maghrébins, qui ont selon une étude menée par le Centre National
de la Recherche Scientifique, 30% de chance en moins de pouvoir voir un
logement que ses concitoyens avec des noms qui sont « traditionnellement »
français. Bien que la discrimination ne soit pas ce qu’elle était auparavant,
il faut que nous continuions à lutter contre elle.
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